Compagnons de route de la première heure, gaullistes de toujours fidèles à leurs convictions, républicains qui n’abandonnent pas, citoyens de bonne volonté qui veulent que les choses changent enfin, ils sont nombreux à avoir bâti Debout la République par leur travail d’élus, de militants et de sympathisants. Plusieurs d’entre eux témoignent du sens de leur engagement et du pourquoi de leur présence à la Mutualité, le 23 novembre.
Vincent Minville - Chargé de mission DLJ pour la Gironde
J’ai adhéré à Debout la République parce qu’il y a longtemps, malgré mes vingt ans, que j’ai adhéré aux idées que ce mouvement défend ; parce que les crises que nous traversons actuellement nous prouvent que la société s’est perdu dans les méandres d’un système financier déshumanisé qu’elle n’a pu contrôler.
J’ai adhéré à DLR parce qu’il y a longtemps que le gaullisme avait anticipé cette dérive qu’il avait essayé d’endiguer en théorisant la participation ; parce que le gaullisme a toujours véhiculé des valeurs et des principes novateurs pour assurer la grandeur de notre pays.
J’ai adhéré à DLR parce que j’ai une certaine idée de la France, que seul Nicolas Dupont-Aignan défend aujourd’hui avec intelligence et courage dans ce monde politique qui a vite fait oublier aux hommes leurs convictions.
Je serai donc présent, le 23 novembre prochain, au congrès fondateur de Debout la République ; et j’invite toutes celles et tous ceux qui le pourront à nous rejoindre, pour qu’ensemble, rassemblés, nous puissions proposer nos idées pour la France de demain.